A vous de jouer

Jeu concours – Gagne ton illustration unique, by Le…

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Jeu concours – Gagne ton illustration unique, by Le Kiwano

Aujourd'hui flotte chez moi une doux sentiment d'euphorie : ce sont les vacances, les travaux dans mon cabinet avancent, j'ai reçu mon K-bis, je fourmille de projets pour cette rentrée... Humeur idéale pour vous organiser un petit jeu concours !
jeu concours illustration kiwano

J’avais envie que ce cadeau ait du sens, qu’il soit représentatif de valeurs fortes, d’un réel engagement et qu’il illustre les convictions qui sont celles de mes accompagnements au quotidien… Et c’est en réfléchissant en ce sens que j’ai pensé à cette illustration >>

  • A ma microscopique échelle, je tente au quotidien d’être alignée et de contribuer à un monde plus juste, équitable, qui répondrait aux besoins de chacun et mettrait en avant une réelle inclusivité.
    Charles Gardou est un anthropologue et auteur qui traite ces sujets avec justesse et dont j’apprécie particulièrement les écrits. Il me semblait donc évident de lui emprunter cette citation pour l’occasion !

  • J’adore aussi les pépères, nés du coup de crayon de Vincent, aka le Kiwano. Et si je les aime au point de leur donner une place prépondérante dans mon cabinet, c’est parce qu’ils sont le reflet de la diversité, de la richesse des différences, de l’acceptation de soi. Ils sont aussi vecteurs de dynamisme et de positivité et forcent à prendre le temps dans un monde qui va trop vite… Rien que cela me direz-vous ?! Quand je vous dis que ces petits personnages sont puissants. 

Alors, faire le mix des pépères et de Charles Gardou pour obtenir une création unique, réalisée pour l’occasion par Le Kiwano création, c’était le combo gagnant !

J’avoue que j’aurais bien gardé cette illustration pour orner mon bureau, mais je suis certaine que vous la mettrez tout autant en valeur chez vous !

Alors pour que celle-ci (cadre inclus) vienne orner votre habitation, bureau, cabinet, ou tout autre lieu exotique, il vous suffit de suivre les indications du formulaire ci-dessous. 

Bonne chance à vous 😉

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enseignement explicite Ma malette à malices

L’enseignement explicite en 5 points clefs

enseignement explicite

L’enseignement explicite en 5 points clefs

A travers cet article, découvrez en 5 points clefs ce qu'est l'enseignement explicite et ses principaux intérêts dans les salles de classe !

L’enseignement explicite est un incontournable dans le répertoire des modalités d’action des enseignants. Il se caractérise selon Archer & Hughes (2011) « une série de soutiens ou d’étayages, lesquels les élèves sont guidés tout au long du processus d’apprentissage, au moyen d’énoncés clairs sur l’objectif et les raisons d’apprendre la nouvelle compétence, d’explications claires et de démonstrations de l’objet à acquérir, ainsi que d’une pratique guidée des feed-back jusqu’à ce qu’une maîtrise autonome soit atteinte. »

Il s’agit d’un agencement de pratiques pédagogiques qui ont pour point commun de transmettre aux élèves des objectifs clairs, de segmenter des compétences complexes en étapes successives, d’offrir des descriptions et démonstrations étayées, de s’assurer de l’engagement des élèves et de multiplier les feed-backs et autres interactions avec les élèves.

En lien à la neuro-éducation, deux avantages se dégagent à la pratique de l’enseignement explicite :

  • alléger la charge cognitive pour permettre aux élèves de mieux apprendre. En effet, quand on leur demande de découvrir eux-mêmes les notions à acquérir et les démarches pour le faire, on met en difficulté beaucoup d’entre eux, qui doivent effectuer une double tâche : repérer les notions ET retenir la démarche.

  • Intégrer le nouvel apprentissage dans un réseau sémantique et un schéma de pensée, afin de s’assurer que celui-ci soit réel et durable.

Alors l’enseignement explicite, qu’est-ce que c’est ? Sur quoi cela repose ? Quelle est son organisation ? Voici 5 points pour répondre à cette question :

1. l'objectif de l’enseignant : favoriser un enseignement actif des élèves

La posture active de l’enseignant est un des fondements de l’enseignement explicite. Il est tout de même important de noter que posture active, nous n’entendons pas : monopoliser la parole pour donner un cours magistral.
Il s’agit plutôt de profiter de son temps de discours pour interroger, superviser, donner des feed-back, solliciter, notamment pour vérifier le niveau de compréhension de chacun.

Hattie (2022) précise qu’il constate « que les enseignants qui se rendent en classe en sachant qu’ils sont les agents du changement sont plus susceptibles de réussir que ceux qui s’y rendent en pensant qu’ils sont un guide sur le côté. »

2. L’enseignement explicite : une démarche structurée

L’enseignement explicite part toujours du simple pour aller vers le complexe. Il est important de repérer en amont toutes les étapes à l’acquisition d’une notion, pour identifier les différentes habiletés sous-jacentes. Chaque étape (sous compétence) sera enseignée spécifiquement.

L’objectif étant que chaque élément appris spécifiquement soit mis la suite au service d’une pratique générale, en coordonnant les différents éléments appris.

L’enseignement explicite se découpe en cinq phases principales :

  • l’ouverture de la séance : L’objectif est d’orienter l’attention des élèves, afin de limiter les informations à maintenir en mémoire de travail et de faciliter le transfert en mémoire à long terme.
    Cela passe une explicitation des objectifs, mais aussi une réactivation des connaissances préalables pertinentes.

  • le modelage : JE FAIS – l’enseignant fait une démonstration et expose/décrit les notions en même temps (on parle de haut-parleur sur la pensée = discours interne). Sur cette étape, il est important d’être clair, précis et de nourrir la notion à l’aide d’exemples et de contre-exemples.

  •  la pratique guidée : NOUS FAISONS ENSEMBLE – Progresser et s’entraîner en collectif. Sur cette phase aux modalités multiples, la posture de l’enseignant est primordial : il questionne, produit des feed-back, s’assure que la notion est comprise. L’interaction se fait de manière duelle mais aussi entre les élèves.

  •  la pratique autonome : FAIRE SEUL – La pratique autonome (exercices) permet à chacun de s’autoévaluer sur sa compréhension de la notion. L’objectif est de favoriser l’automatisation pour soulager la potentielle charge cognitive. L’enseignant supervise et peut produire de courtes explications.

  • la clôture : Synthétiser avec l’aide des élèves ce qu’il est nécessaire de retenir et indiquer brièvement la prochaine étape. C’est aussi à ce moment que le travail attendu à la maison est explicité : celui-ci doit contribuer à renforcer les apprentissages en cours. Il ne s’agit que de réinvestissement.

Toutes ces étapes sont réfléchies pour investir un surapprentissage, nécessaire pour parfaire la compréhension, l’automatisation et la mémoire à long terme.

3. Enseignement explicite et tâches complexes

L’enseignement explicite est principalement exploité pour des activités que l’on considère comme structurées. Par exemple les règles de grammaire, la technique opératoire ou encore les correspondances graphème-phonème.

Mais cet enseignement peut aussi être pertinent pour des tâches moins structurées, que l’on appelle aussi tâches complexes. La stratégie sera ici d’expliciter les éléments constitutifs de ces tâches (identifier les points clés et les difficultés) pour rendre perceptible les mécanismes, plutôt  que de simplement les décomposer.
On peut exemple procéder ainsi pour la résolution de problèmes, la compréhension de texte, etc.

4. L’enseignement explicite, une démarche favorable pour tous

L’enseignement explicite contribue à réduire et/ou à limiter les écarts sociaux d’acquisition. Cette méthode, qui profite particulièrement aux élèves en difficulté ou ceux qui ne disposent pas de ressources de compensation à la maison, est aussi d’une grande efficience pour l’apprentissage de nouvelles notions, quels que soient le contenu ou la cohorte.
L’enseignement explicite est également bénéfique pour les élèves les plus jeunes, qui ont moins de ressources et de stratégies cognitives à disposition.          

Une méta-analyse portée Sinha & Kapur (2021) montre que commencer une activité d’enseignement une phase de découverte a des effets négatifs sur les apprentissages des élèves d’école primaire. C’est pourtant la stratégie qui est encore le plus souvent utilisé dans les écoles.

Il est à noter que l’enseignement explicite est moins nécessaire à un élève identifié comme expert. Kalyuga (2007) parle d’un « effet de renversement dû à l’expertise ».

On entend expert un élève qui maîtrise parfaitement l’objet d’apprentissage. L’expertise est généralement relative à un domaine précis.

5. L’enseignement explicite et les apprentissages transversaux

De nombreux chercheurs, comme exemple l’Education Endowment Foundation (2022) et Muijs & Bokhove (2020) ont démontré que l’enseignement explicite est également bénéfique pour aider les élèves à apprendre à apprendre :  diriger, planifier, évaluer, favorisant ainsi leur métacognition et leur autorégulation.

En enseignant ces stratégies de manière explicite, les élèves apprennent à les systématiser et ainsi mieux gérer leurs apprentissages présents et à venir.

POUR ALLER PLUS LOIN - Documents à télécharger

  • Mon infographie sur l’enseignement explicite, créée pour l’organisme Autorégulation, avec qui je collabore pour des missions de supervision et de formation.
  • L’échelle d’enseignement apprentissage : un outil pour rendre visible les étapes de l’enseignement explicite  en classe (outil proposé Christophe BACO et Marie BOCQUILLON).

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Magazine Couleurs d’Être

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Magazine Couleurs d’Être

Magazine Couleurs d'Être - 1er numéro - Juin 2022 Découvrez le sommaire alléchant de ce premier numéro et téléchargez votre édition !

magazine Couleurs d’Être

J’avais envie de commencer cet article en vous partageant la genèse de ce projet. Si vous n’y voyez pas d’intérêt, n’hésitez pas à sauter ce paragraphe pour directement vous rendre en bas de page et accéder au magazine Couleurs d’Être 🙂

Il y a plusieurs mois, j’ai vécu une étape down dans mon quotidien. De celle qui bouleverse tout sur son passage, qui vous pousse dans vos retranchements, qui bouscule votre équilibre familial et qui néanmoins vous amène, certes avec beaucoup de douleur, à vous poser les bonnes questions. J’ai eu la chance d’être énormément soutenue dans cette période venteuse, que ce soit mes proches ou des professionnelles incroyables.
L’une d’elle m’a proposé un exercice simple, que vous connaissez certainement : dresser sa bucket list, autrement dit une liste de 100 choses à faire avant de mourir. Adepte de ce genre d’excercices, je m’y suis prêtée avec beaucoup de sérieux. Et une fois la liste sous les yeux, l’évidence était là : je ne me suis pas trompée de destination, juste de route.

Je vous passe les détails, mais cette liste a finalement été le point de départ de ma reconversion professionnelle, de prises de contact (parfois folles) que j’ose faire, de mon engagement toujours plus fort, de cette volonté de créer et aussi de cette détermination à affirmer mes propres particularités et à les accepter (avec douceur).
Cette liste m’a aussi valu quelques expériences incongrues, comme ce passage télévisuel d’il y a quelques jours, pour celles et ceux qui m’ont reconnue 😂

Dans cette liste apparait notamment les items 11. Sensibiliser et porter ma voix sur les sujets en lien aux besoins et l’inclusion | 21. Créer un magazine sociétal | 49. Exploiter mon expertise digitale
Je pense que vous l’aurez compris et que je n’ai pas besoin d’en dire plus : je me suis dit que ce magazine Couleurs d’Être serait un bon moyen de cocher ces cases.

J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire le magazine Couleurs d’Être que j’en ai eu à le construire et le co-rédiger avec des personnes formidables.

Magazine Couleurs d'Être - Le sommaire

 

🔹️ magazine Couleurs d'Être Notre grand doss’ « équité » qui vous permettra d’en savoir plus sur les richesses de la communication alternative et augmentée (CAA) ! Dossier illustré les photos d’Anahita Avalos, lors de vAACanves incroyables (organisées l’association Affiche La Couleur).

🔹️ magazine Couleurs d'Être Le témoignage inspirant de Gwenaelle Dhe, modèle de résilience et cheffe d’entreprise engagée de Dhénaë – Atelier de Communication.

🔹️ magazine Couleurs d'Être Un article sur l’importance de l’intelligence émotionnelle au quotidien, rédigé une personne sans qui je n’en serais certainement pas là : Elise Berche Ferrière de Potentielis.

🔹️ La présentation du plus que nécessaire Sommet en ligne des besoins spécifiques – Leixia, qui se déroule en ce moment même, organisé Anthony Godin. J’y aurai le plaisir d’intervenir demain sur le sujet de l’inclusion scolaire pour les jeunes avec TSA.

🔹️ Et des rubriques annexes !

Magazine Couleurs d'Être - le recevoir

 

Pour visualiser et télécharger le magazine Couleurs d’Être, merci de compléter le formulaire ci-dessous.

Je vous souhaite avance une excellente lecture ! N’hésitez pas à me faire un retour, que ce soit le biais du site ou de ma page facebook : NMC, orthopédagogue|enseignante spécialisée

ATTENTION, suite à l’envoi du formulaire, une fenêtre pop-up va s’ouvrir pour que vous récupériez l’accès au magazine. Merci de vous assurer des paramètres de votre bloqueur de publicité si jamais vous avez des difficultés d’affichage ^^

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la neuroéducation Neuro-éducation

La neuroéducation, qu’est-ce que c’est ?

la neuroéducation

La neuroéducation, qu’est-ce que c’est ?

La neuroéducation, qu'est-ce que c'est ? A travers cet article, découvrez en plus sur cette approche, en plein essor depuis une vingtaine d'années : objectifs, principaux domaines abordés, mise en place sur le terrain, etc.

La neuroéducation, ou neurosciences de l’éducation est une approche à la croisée des chemins, qui fait du lien entre les chercheurs en neurosciences cognitives et les enseignants. L’union de ces acteurs a pour objectif de défendre l’idée qu’une meilleurs connaissance des process d’apprentissage, de la mémoire ou du langage est nécessaire pour interroger et enrichir au quotidien les pratiques pédagogiques.

Steve Masson, professeur à l’Université du Québec et président de l’Association pour la recherche en neuroéducation en donne la définition suivante : « Mieux comprendre le cerveau pour mieux enseigner« .

Dans la préface du livre « Entraîner le cerveau à résister« , Olivier Houdé et Grégoire Borst évoquent la nécessité de partenariat entre enseignants et chercheurs afin de concevoir une pédagogie adaptée au développement sociocognitif  de l’enfant, tout en prenant en compte la réalité du quotidien d’une classe.

Les principaux objectifs de la neuroéducation

Mieux comprendre le cerveau, la manière d’apprendre et de penser.

Evaluer de manière scientifique des interventions pour aider les élèves, en difficulté ou non, à mieux apprendre.

Utiliser les connaissances sur le fonctionnement cérébral pour interroger les pratiques éducatives existantes, les conforter, les nuancer et/ou les faire évoluer.

Les domaines abordés la neuroéducation

Les domaines abordés la neuroéducation sont nombreux et je me ferai un plaisir de les détailler via ce blog, dans de prochains articles.
En voici ci-dessous quelques exemples, notamment en lien aux quatre grands piliers de l’apprentissage de Stanislas Dehaene, aux quatre grands principes d’Olivier Houdé et aux sept principes neuroéducatifs de Steve Masson.

  • Mieux connaître son cerveau

Connaître son cerveau et son fonctionnement pour comprendre qu’il n’est pas immuable (plasticité cérébrale, recyclage neuronal) et va se modifier en fonction des expériences de vie et des apprentissages de l’apprenant. Et ainsi, faire confiance en son potentiel pour développer sa mémoire tout au long de sa vie.

Identifier sa structure et les différentes fonctions associées aux lobes, notamment pour prendre conscience du rôle et de l’importance des fonctions exécutives (et plus largement cognitives), mais aussi des émotions.

  • Comment mémoriser et consolider ses apprentissages

Connaître SES mémoires (sémantique, procédurale, perceptive, de travail) pour mettre en place des stratégies adaptées.

Prendre conscience du chemin du traitement de l’information, de la perception à la récupération, pour l’optimiser.

Savoir que les règles fondamentales de la mémorisation sont communes à tous (nécessité de comprendre pour mémoriser, posture pro-active de l’apprenant – questionnement, correction des erreurs, émotions – , importance de la consolidation, exemple avec la répartition des apprentissages).
Mais aussi que l’environnement à un rôle primordial à jouer pour une meilleure mémorisation (paramètres de la motivation, phénomènes biologiques, métacognition).

  • Le contrôle exécutif : automatisation, contrôle inhibiteur et attention

Apprendre à alléger la charge cognitive de sa mémoire de travail en mettant des procédures au service de l’exécution.

Connaître le principe du contrôle inhibiteur et l’entraîner ; car il nous permet au quotidien de raisonner, d’accéder à une pensée logique en résistant à certains biais et de se forger un esprit critique tout en construisant sa conscience à l’autre (apprendre à inhiber son point de vue pour se décentrer).

S’exercer à contrôler ses pensées vagabondes, disposer de capacités attentionnelles et gérer les distracteurs externes pour optimiser sa concentration.

qu'en est-il de la neuroéducation sur le terrain ?

Le domaine 2 du socle commun de connaissances, de compétences et de culture intitulé « méthodes et outils pour apprendre » évoque l’oganisation du travail personnel et la nécessité d’apprendre à apprendre aux élèves, c’est à dire mettre en œuvre les capacités essentielles que sont l’attention, la mémorisation, la mobilisation de ressources, la concentration, l’aptitude àl’échange et au questionnement, le respect des consignes, la gestion de l’effort.
Mais aussi, savoir identifier un problème, s’engager dans une démarche de résolution, mobiliser les connaissances nécessaires, analyser et exploiter les erreurs, mettre à l’essai plusieurs solutions, accorder une importance particulière aux corrections.

Sur le terrain, en et hors classe, les acteurs se multiplient :

  • Les dispositifs cogni-classes – à l’initiative d’équipes pédagogiques ou établissements, les enseignants sélectionnent des pistes pédagogiques à mettre en place en classe. Beaucoup axent exemple leurs démarches sur la mémorisation.
  • La recherche collaborative Lea.frLaPsyDE Du labo à la classe, qui regroupe  240 classes, avec pour objectif l’adaptation et la vérification de la faisabilité d’interventions pédagogiques en classe sur ces sujets, tout en répondant à un protocole de recherche.
    Depuis, d’autres recherches-actions du même type se développent.

Et les limites ?

Il est bien évident que la neuroéducation n’a pas pour but de révolutionner ou réinventer la pédagogie, mais simplement d’apporter une nouvelle pierre aux sciences de l’éducation, en mettant en parallèle les recherches en cours avec les connaissances sur le développement de l’enfant et en psychologie de l’apprentissage et de l’éducation, pour y donner plus (ou moins ^^) de poids.

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Fonctions cognitives

La répétition espacée : une technique d’apprentissage gagnante

La répétition espacée : une technique d’apprentissage gagnante

La répétition espacée - Connaissez-vous cette technique d'apprentissage qui vous permettra de faciliter vos révisions ?

Saviez-vous qu’en moyenne nous perdons 80 % des détails appris, dans les 48h qui suivent un temps d’apprentissage ? Triste sort…

Alors, j’avais aujourd’hui envie de vous partager une technique d’apprentissage, idéale pour s’organiser et s’assurer une mémorisation durable des éléments appris.
Et pour se faire, je souhaitais passer un autre canal que l’écrit, en vous présentant cette notion un support plus dynamique et visuel !

Voici donc une présentation virtuelle qui a pour thématique « la répétition espacée« . Vous trouverez dans ces slides l’historique de la méthode, les intérêts de celle-ci dans l’acte d’apprentissage et bien évidemment un lien aux neurosciences. Alors si vous avez toujours rêvé de m’entendre parler de courbe de l’oubli, du système de Leitner, des piliers de l’apprentissage de Stanislas Dehaene et/ou de la formidable métaphore de la forêt de Steve Masson, bienvenue ici !

A noter que cet outil fait partie de ma malette à malices lors d’accompagnements orthopédagogiques 😉

Bonne visualisation !

 

Pour visionner la présentation en pleine page, c’est ici : La révision espacée

La répétition espacée est une technique de mémorisation apparue à la fin du 19ème sièce, Hermann Ebbinghaus.

Elle part du principe qu’une notion doit être révisée plusieurs fois, de manière brève mais répétée, pour s’incrémenter dans notre mémoire long terme.

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MAG COULEURS D'être - n°1

Un grand merci pour votre intérêt.
Je vous souhaite avance une excellente lecture !

J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce mag., que j’en ai pris à le construire.

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